Ma liberté s’arrête t’elle où commence celle d’autrui ?
Euuuh oui, bonne question me dit-je. Pff sa doit bien faire deux heure que je regarde mon écran d’ordinateur et je n’ai encore rien écrit. Fichu sujet de français, c’était à rendre pour il y a maintenant deux jours bientôt trois et je n’ai toujours rien commencé … manque d’inspiration, manque d’envie et oui manque de temps. En parlant de temps j’ai passé ma mâtiné de samedi à me torturer la tête pour savoir quoi répondre mais rien n’est sortie de ma tête preuve que ce n’est pas le temps qui m’a manquer aujourd’hui et ce n’est ni l’envie parce que j’avais vraiment envie de m’y mettre alors tout compte fait je pense que c’est l’inspiration qui m’a manquer ! Je me lève de mon lit regarde par la fenêtre, il fait un superbe beau temps, les gens qui sont dehors sont pratiquement tous habiller légèrement et certaines personnes ont abandonné leur voiture pour se mettre à vélo. Le soleil doit aussi taper fort pour que beaucoup de gens aussi sorte les lunettes de soleil. Je me retourna et je remarqua que ma chambre comparé à d’habitude est beaucoup plus ordonner, je retira mon pull et enfila un tee-shirt à la place puis j’enfilai la première paire de chaussure que je trouvai. Je passe la porte d’entrée de chez moi et la ferma, la seul façon de trouver de l’inspiration pour y répondre c’est de ce changer les idées. Je décide dans un premier temps d’aller dans le parc de la ville, ce n’est pas très loin de chez moi et puis c’est l’endroit le plus sympa pour se détendre et j’avais bien envie d’y faire un tour. Le parc avait beau être très proche de chez moi je n’y suis allé que deux fois, trois si je compte celle d’aujourd’hui enfin bref en effet il n’y avait ni nuage, rien qu’un beau soleil c’était agréable mais l’air était lourd, très lourd. Tellement lourd que je regrettai presque d’être sortie de chez moi mais je n’avais aucune envie de faire demi-tour alors que je venais d’arriver. Je pousse juste la porte verte grinçante d’entrée du parc que je me fait de suite bousculer par un enfant qui se faisait courser par un ami à lui et pafff la belle et grosse boule de glace à la fraise se dépose sur mon magnifique tee-shirt qui était blanc au passage. Moi qui croyais que ce genre de scène n’arrivait que dans les films j’étais fixé, pas le temps de placé un mot que le gosse le regarde avec presque les larmes aux yeux non pas d’avoir salie un inconnu mais d’avoir perdu la boules de glace qui manquer à son cornet qui tenais dans la main. Il me présenta ces plus plates excuses et couru vers sa mère surement pour qu’elle lui paye une nouvelle glace. Maintenant je vois pourquoi je venais que très peu dans les parcs, pour éviter ce genre d’accident. Je m’immobilisai devant la premier personne que je croisai et l’arrêta au beau milieu du chemin :

Euuh excuser moi, vous n’auriez pas un kleenex ou un truc dans le genre ?

Tout d’un coup je me sentais un peu idiot, pourquoi demander un kleenex ? Pourquoi faire ? La glace déjà fondu avait déjà imprégner mon tee-shirt ça ne pouvait pas être pire. Je regardai la personne à qui j’avais demandé sa, la regarda attentivement, brune taille moyen, d’assez bonne humeur. Enfin j’espéré vu qu’une gaffe n’arrivais j’avais seul je ne voulais pas être la chose qui l’avait déranger dans ce qu’elle faisait.

À la base, j'étais censé passer tout un week-end uniquement avec ma tante. Elle m'avait demander ou plutot forcer de venir passer quelques jours chez elle, pour lui remonter le moral. Elle venait de se faire plaquer par son petit copain, l'amour de sa vie, son futur mari comme elle disait. Je pense qu'il n'est plus qu'un gros con à ses yeux, ce type. Bref, malgré mes multiples devoirs à faire, j'accepta. Le soir même, nous sommes allés en boite de nuit, l'endroit idéal d'après moi pour se changer les idées. Au bout d'une demi-heure, la tante disparu dans les bras d'un inconnu. Je ne l'a revue que le lendemain matin pendant mon petit déjeuner.

-   Couuucouuu! avait-t-elle lancée de l'autre bout de la maison. Elle me rejoigna quelques secondes après son arrivée, le temps d'oter son blouson ainsi que ses chaussures. 

- 'Lut ais-je répondu d'une voix endormie T'es partie où hier soir? Avec qui surtout?

- Avec un homme tout à fait charmant, il s'appelle Raphaël. On a discutait un petit peu et puis on est allé chez lui pour être un peu plus au calme et ensuite..

- Merci de m'épargner les détails, j'ai pas envie de savoir. Bon, je pense que la mission est terminée, je vais rentrer chez moi, alors. 

Elle ne refusa pas, elle semblait même assez contente de mon départ. Et moi aussi. A midi, j'étais enfin chez moi, à me préparer une petite salade, je n'avais vraiment faim. Mon portable vibra alors que j'étais entrain de faire la vaisselle. Mais comme il s'agissait d'un message, celà pourrait attendre. Une fois les mains libres et sèches, je pris mon portable pour voir de quoi il s'agissait.. Hey Kat! On a reçu deux Polaroïd, je ne sais pas si ça t'intéresse mais je voulais te prévenir, on ne sait jamais.. A+, Sophie.  

Un Polaroïd? J'ai toujours d'un posséder un, donc il n'en fallait pas plus pour me sortir de chez moi. Avant de passer le pas de la porte, je retourna dans la chambre pour enfiler quelque chose de plus léger. Un short en jean bleu clair ainsi qu'un tee-shirt blanc déjà troué à la base qui l'était encore plus aujourd'hui à cause d'un léger problème avec la machine à laver. Mais cela ne faisait rien, il ne montrait que les parties "autorisées" de mon buste, donc je ne choquerais personne. Ah si, peut être quelques grands-mères, mais qu'est ce que j'en ai à foutre.. C'est de bonne humeur que je quitta mon appartement pour me rendre au magasin de photographie que tenait mon amie Sophie. En arrivant, elle ne fut pas du tout surprise de me voir. Après s'être occupée du client précédent, elle m'attira dans l'arrière boutique et me montra les deux Polaroïd en question. Comme ils étaient pareils, pas besoin de choisir ce qui fut plus facile. 

Après avoir acheté mon nouvel appareil, j'avais très envie de l'utiliser, c'est pourquoi je choisis le parc de mon quartier. Au bout d'une dizaine de minutes, je fus arrivée à destination. J'écrasa ma cigarette avant d'entrer, pour éviter les regards noirs de certaines mamans. Je m'apprêtais à rejoindre l'un de seul banc libre quand je fus arrêter par un inconnu. Le jeune homme me demanda si j'avais un kleenex ou quelque chose du genre. Je me mis à fouiller dans mon sac à main et finit par trouver un paquet de mouchoir encore neuf. Je le lui tendit tout en souriant. Il était plutôt mignon, cet inconnu.. J'allais lui demander pourquoi il avait besoin d'un mouchoir mais je compris seule. La trace rose ainsi que la glace ou ce qui devait en être une et qui gisait par terre à l'état de flaque parlaient d'eux même. 

Sauver, enfin à moitié la jeune fille me tendis un kleenex. Pas la peine de lui expliquer comment et pourquoi cet incident était arrivée, il a juste fallu qu'elle jette un coup d'œil à mont tee-shirt rose et à la flaque qui était prêt de moi. Il ne fallait pas être un génie pour connaitre le scénario qui c'était passer. Avec le kleenex j’essuyai le peut qui avait à essuyer puis je le jetai dans la flaque de glace à la fraise. En temps normal je l'aurais jeté à la poubelle enfin si nous sommes dans le contexte où je suis chez moi prêt de la poubelle et que je n'ai vraiment que sa à faire oui je l'aurais jeté à la poubelle mais la euuh rien à foutre et puis ce n’est pas comme si j'avais jeté une bombe à la mer, c'est juste un fichu kleenex. Je regarde l'inconnu et maintenant je peux rajouter l'adjectif "belle" devant ce mot parce qu'elle l'était vraiment. Je remarque aussi qu'elle avait à son bras un appareil photo enfin le genre d'appareil photo ou les cliché qu’on prend se développe automatiquement, vous voyez je le genre d'appareil photos qu’on ne voit plus trop en ce moment mais super pratique ..... euuh enfin je sais plus trop comment on appelle ça, j'ai toujours appeler "appareil photo auto ". Enfant j’ai toujours voulu en avoir un, le fait de savoir que les photos que je pouvais prendre aller se développer aussi tôt prit m’exciter assez je dois l’avouer mais j’étais gosse à l’époque tous les choses magiques que je pouvais voir m’exciter mais maintenant que j’ai grandi l’appareil numérique a comblé mon envie même si les photos ne sont toujours pas développer aussi rapidement.

Sympa l'appareil.


Je mets mes mains dans les poches de mon vieux jeans Levis qui a un peu d'année derrière lui puis. C'est une habitude, j’aime ne pas avoir les mains vides et quand elles le sont je fais en sorte qu'elle le soit plus ou qu'elle soit à l'intérieur d'une poche histoire d'habitude. C'est a ce moment là que je me rendit compte que je n'avais ni prit mon portable ni prit mon ordinateur portable ni rien, comment suis-je censé travailler sur mon devoir si je n'ai rien prit pour écrie ? Fait chier, en ce moment j'ai vraiment la tête en l'air. Enfin bref, pas grave je le travaillerais à la maison ou dans le pire des cas je ne le ferais jamais.

En réfléchissant un peu, je crois avoir déjà vu à Rosweld le jeune homme qui se tenait devant moi. J'ai préféré me taire au lieu de poser la question par peur de passer pour une idiote si la réponse est négative. Je profita quand il tenta d'essuyer la tache pour l'observer un peu mieux. L'inconnu avait des cheveux couleur de jais, une peau mat et était plutôt grand. Je détourna les yeux à la seconde où il releva la tête. Il est vraiment mignon finalement. Mais c'est pas vraiment le moment que je tombe amoureuse..Mais Pourquoi je parle d'amour moi? Il me rendit mon paquet de mouchoir et jeta l'usagé à terre. Pas très écologique tout ça, mais je jette les mégots de cigarettes un peu partout moi.. Les yeux du jeune homme se posèrent sur ce que je tenais, mon nouveau Polaroïd en l'occurrence.

- Sympa l'appareil.

Je souris et le remercia avant de me présenter:

- Je m'appelle Katynka.

Assez plate comme présentation, faut le reconnaitre mais ce fut la première chose qui sortit de ma bouche.

Elle me remercie et me sourit, je souri à mon tour même si ce n’est pas trop mon genre de sourire aussi facilement et pour au final pas grand-chose, mais souvent le cerveau ne veut pas ce faire obéir et c’est ce qui c’est passer. Elle avait un très beau sourire, je pense que c’est pour cela que j’ai aussi souris parfois je me sens vraiment bête. Elle se présenta, elle s’appelait Katynka, plutôt original comme prénom je n'avais jamais entendue ce prénom et j'aimais beaucoup. J'aime bien mettre un nom sur un visage et franchement le nom et le visage vont superbement bien ensemble. Je pense l'avoir déjà vue aux alentour, après ou précisément ? Aucune idée, je n'ai pas de mémoire photographique mais il n'y a pas quinze mille endroit où je me promène dans la ville donc sa devait surement être une élève d'un des deux établissements ou juste une inconnu qui ne m'avait pas laissé indifférents et c’est rare je tiens à le préciser enfin bref dans tous les cas maintenant je connaissais son prénom.

Qu'est-ce que tu viens faire dans le coin ? Au fait moi c'est Noah et je suis de Rosweld!

Tout de suite j'en voulais un peut moins au salle gosse qui m'avait taché, c'est vrai quoi. Si il ne m'aurais pas renverser cette glace je n'aurais pas rencontrer Katynka donc bon merci a lui comme même

- Qu'est-ce que tu viens faire dans le coin ? Au fait moi c'est Noah et je suis de Rosweld!

Moi qui pensais ne pas avoir de mémoire photographique, pas de mémoire du tout en fait, je me suis trompée. Ou alors c'est juste parce qu'il m'avait fait de l'effet et c'est pour ça que j'ai retenu son visage. Aucune idée, et puis on s'en fout un peu. Le jeune homme s'appelait donc Noah et étudiait à Rosweld. C'est sympa, comme prénom, Noah.

- Rosweld? C'est drôle, j'y suis aussi. ajoutais-je en continuant de sourire.

Un gamin (surement celui qui avait renversé la boule de glace à la fraise sur le tee-shirt de Noah) fit son apparation, toujours à sprinter pour que son ami ne l'attrappe. En voyant le jeune homme, il s'arrêta de courir, l'évita soigneusement et reprit sa course. Sa mère avait du le gronder pour sa bêtise.

Un cycliste qui ne regardait pas vraiment où il allait, failli nous rentrer de dedans. Bon, d'un autre côté, on était en plein milieu du chemin, donc je me suis décalée vers le banc sur lequel je voulais m'assoir avant que Noah m'arrête. Le jeune homme fit de même.

Rosweld? C'est drôle, j'y suis aussi. Apparemment elle aussi étudier à Rosweld. C’est surement là où j’avais dû la voir. Entre deux cours ou dans les alentours. Le gosse qui m’avait renversé la glace continuer toujours autant de courir dans tous les sens, je le vit surgir de nulle part, avant qu’il n’entame une autre gaffe de plus il ralentit sa course en nous voyant, au passage il eut aussi droit à mon regard de tueur xD droit dans ses yeux pour bien qu’il se rappel de faire attention la prochaine fois. Cette fois il n’avait pas de glace dans les mains, c’était bon signe. Mais après sa on n’a aussi eu droit au cycliste qui ne savait pas conduire son vélo puisqu’il a failli nous rentrer dedans, on est dans le passage oui mais pas besoin de nous tuer de toutes les manières possible et inimaginable. On se décale sur la droite prêt d’un banc, au moins la on ne risque rien. Je m’assoie prêt d’elle.


Tu sait, ton appareil m'impressionne pas. Je suis certain que même en ayant jamais toucher un appareil comme le tien, je fais la plus belle photo que tu a jamais vue. J'ai comme on dit un don.


Bon il y a comme même deux trois chose de vrai dans ce que je viens de dire. 1 : je n'ai jamais touché d'appareil photo comme celui-ci. 2, j'ai un don pour dire n'importe quoi et 3 je suis certain de prendre la plus belle photo qui soit. Et puis j'avais vraiment envie de savoir si elle était plus douée que moi même si pour cela il ne fallait pas grand choses parce que je ne suis vraiment pas dur à battre.

Qu'est ce que tu en dit ? Tu relève le défi ... que tu perdera bien sûr :p

Après s'être assis près moi, Noah me proposa un défi:

- Tu sais, ton appareil m'impressionne pas. Je suis certain que même en ayant jamais toucher un appareil comme le tien, je fais la plus belle photo que tu a jamais vue.  J'ai comme on dit un don. 

Alors comme ça, Monsieur était un vantard? J'avais hâte qu'il confirme ses dires et qu'il me prenne la plus belle photo que je n'ai jamais vu.

- Qu'est ce que tu en dit ? Tu relève le défi ... que tu perdera bien sûr :p

- C'est ce qu'on va voir.. lui dis-je en lui tendant l'appareil, Tu sais t'en servir, n'est-ce pas? lui demandais-je avec un petit sourire malicieux.

Je fais de la photo depuis ma plus tendre enfance. Plus précisément, depuis mes 6 ans. On m'a offert mon premier appareil et ce fut le déclic. Dès que j'en avais l'occasion, je sortais prendre des photos d'un peu n'importe quoi. Je m'amusais bien et puis j'oubliais mes problèmes. Donc je n'étais pas vraiment une amateur. Sauf que je n'ai presque jamais utilisé un Polaroïd. La seul fois où cela est arrivé, c'était avec le vieux de la mère. La photo n'est jamais sortie.

C'est ce qu'on va voir…Tu sais t'en servir, n'est-ce pas? Elle me tend l’appareil, je le prends dans les mains et le place bien correctement entre mes mains. Il ne faudrait surtout pas que je le fasse tomber ou qu’un incident arrive par la suite à cause de ma faute. Déjà que je suis assez poissard il ne faudrait pas trop que je tente le diable. Fin bref bien sûr que je sais m’en servir, sa doit pas être pas si difficile que ça, c’est comme toute autre appareil photos, on fixe puis on cliik ^^. Je me lève du banc et je regarde autour de moi histoire de voir qu’elle objectif j’aller prendre en photos, en fait je savais très bien ce que je voulais prendre en photos mais je chercher plutôt l’angle de vue sur laquelle je voulais la prendre. Ne bouge surtout pas okay ? Ta la pose parfaite. Je prends la photo immédiatement et lorsqu’elle fût développer je la prit dans ma main de libre et la secoua de haut en bas, j’ai déjà vu faire sa donc je fais pareil et puis je pense que tout le monde fait sa pour que la photo fasse plus vite pour pouvoir voir comment et le cliché prit en photos.

Je pense que j’ai entre les mains le plus beau cliché que tu pourras voir dans toute ta vie, le modèle et super et le photographe aussi. Je me reçois sur le banc et tout beau tout fier en espérant que la photo que j’ai prise soit à la hauteur de mes espérances et je lui tends l’appareil photo. Bonne chance. Et je souris en jetant un coup d’œil à la photo prise. Je te montre mon cliché juste après que tu aies pris ta photo.

Il s'eloigna du banc et observa les alentours quelques secondes  avant de se retourner vers moi. Je compris immédiatement que j'allais être sur sa photo. Le truc avec moi, c'est que prendre des photos, j'adore mais être dessus, pas vraiment. Petite, j'evitais soigneusement d'être immortalisé par des prétextes débiles. Les premières fois, ça marchait puis au fil des mois, mes parents me forcé à rester devant l'objectif. Une longue bataille qu'ils gagnaient toujours. Ou presque. 

- Ne bouge surtout pas, okay?

Rare sont les fois où je me laissais faire, mais si ça lui faisait plaisir... Il appuya sur le bouton et un petit clic se fit entendre. La photo fit son apparition, Noah la pris entre ses doigts et la secoua pour qu'elle se développe plus vite. J'ignorais si celà marchait réellement. 

- Je pense avoir entre les mains, le plus beau cliché que tu pourras voir dans toute ta vie, le modèle est super, et le photographe aussi.

Je souris en entendant le compliment même si j'étais pas forcément d'accord. Des filles cent fois plus jolies moi, Paris devait en comptait un grand nombre. Mais ça fait toujours plaisir, un compliment. Noah s'approcha de moi et me rendit mon appareil. 

- Bonne Chance Ses yeux se posèrent sur la photo. Je te montre mon cliché juste après que tu aies pris ta photo  

Je me leva du banc et me mis à chercher quelque chose à prendre. Je vis un parterre de tulipes par très loin de nous, ça fera l'affaire. 

- Comme je ne suis pas une voleuse d'idée, je ne te prendrais pas en photo, même si cela m'aurais plu. annonçai-je avant de marcher direction les tulipes. 

Une fois à quelques centimètres des fleurs, je m'accroupis et prit le cliché. Quelques papillons flânaient sur les plantes, ce qui m'arrangeai vu que ça embellissait ma photo. 

Je reviens vers Noah, toujours assis sur le banc. J'attendis que le cliché est fini de se développer et je demanda:

- Alors, on échange?   

Comme je ne suis pas une voleuse d'idée, je ne te prendrais pas en photo, même si cela m'aurais plu. C’est parfait comme ça, je n’aime pas trop les copieuse… même si je ne vois pas Katynka comme une copieuse, disons que j’aurais plus dit qu’elle ce serais inspirer de mon travail ^^. Elle se leva et marcha et s’arrêta devant un troupeau de jolie tulipes. Comme une professionnelle elle s’accroupie et prit son cliché qui même avant de ne pas l’avoir vue j’aller être sûr qu’il aller être pas mal. Après avoir pas mal secoué ma photo prise par mes soins, je la regarde attentivement et en effet elle était pas mal, j’avais pris la photo par « surprise » ce qui fait que sur la photo on pouvait voir que Katynka ne regarder pas l’objectif lorsque je l’avais prise et le beau temps c’était ajouter à la photo ce qui au final donner une photo assez banal mais je ne sais pas, il y avait ce petit plus qui faisait que je trouver ce cliché très jolies. Assez fier de moi je laisse même échapper un sourire. Elle revient s’assoir sur le banc avec dans les mains la photo qu’elle venait de prendre et l’appareil photo. Alors, on échange? Je lui tends la photo.

Qu’est-ce que tu en pense ?

Je l’observe regarder la photo que je venais de prendre. Pas mal pour un débutant en photographie non ? je souris

Noah me tendit sa photo, je fis de même avec la mienne. Je m'apprêtais à découvrir la plus belle photo que je verrais de toute ma vie . Suspence...

- Qu’est-ce que tu en pense ?

Comme j'étais sur cette photo, je pensais avoir droit à un décor assez sympa avec une fille moyennement jolie assise sur un banc. Mais non, finalement, ce n'était pas si mal. Noah est doué, pour quelqu'un qui n'a jamais touché de Polaroid.

- C'est très joli. Dommage que je gâche la photo. dis-je d'une voix plutôt ironique.

Je levai les yeux vers le ciel et me rendit compte que le soleil, présent il y a quelques minutes, avait disparu, pour laisser place à de gros nuages noirs.

- Oho, je crois qu'il va y avoir un orage.. murmurais-je

Maintenant, je comprenais pourquoi l'air se faisait si lourd et étouffant. Et dire que je suis sortie sans même pensé à prendre un parapluie. Mais bon, après tout, nous sommes en août, normalement les parapluies ne sont pas de grande utilité pendant ce mois. Mais il y a des exceptions et je crois que cette journée en fait parti.

Oho, je crois qu'il va y avoir un orage.. Je crois qu’elle a raison, les gens qui étaient dans le parc commencé à ranger leurs affaires et à appeler leurs enfants directions la maison. Je regarde vers le ciel et en effet les nuages avaient pris la place du beau et gros soleil qui avaient il y a quelques minutes ensoleiller la ville. Je pense que le reste de la journée ne pouvait pas se terminer d’une autre façon surtout que je n’avais ni veste ni autres pour se protéger de la pluie qui s’annoncer assez rude et dire que nous étions en plein mois d’aout en été pour être précis mais moi je dis sa je dis rien. Je pense que tu as raison. Une goutte tomba justement sur mon bras et pas qu’une petite, le genre de grosse goutte qui tombe du ciel et vous prévient qu’une grosse averse aller s’apprêter à venir. Je me demande ou est ce qu’on peut s’abriter dans un parc quand on n’a pas prévue de quoi se couvrir. Je regarde tout autour de moi et je vois au loin le genre de cabane pas trop grand, assez résistance et euuhhh une cabane d’enfant en gros. Le genre de cabane dans laquelle on a tous jouer lorsqu’on a était gosse.
Tu vois la maisonnette là-bas ?

Spoiler:

Je prends la main de Katynka et je l’emmène vers la cabane toute en courants pour éviter de ce prendre la flotte. Bienvenue chez moi, je n’ai pas trouvé mieux pour nous abriter excuse-moi (sourie). J’ouvre la porte. Après vous mademoiselle.

- Je crois que tu as raison a-t-il répondu.

Plusieurs petites goutes, les premières, firent leurs apparitions, comme pour me donner raison. Noah regarda dans les alentours pour trouver un endroit où s'abriter. Il prit ma main et nous emmena dans une petit cabane pour enfants. En la voyant, j'eus un pincement au cœur, elle me rappelait celle que mon père m'avait construite, quatorze ans plutôt. Je passais mes journées dedans à m'inventer des vies. Un jour, j'étais une maman qui devait s'occuper des ses enfants, le lendemain, un vétérinaire qui soignait ses petits patients... Noah me fit revenir à la réalité, celle où je risquais de tomber malade si je restais trop llongtemps sous la pluie. Pour tomber malade en aout, il faut être fort.

- Bienvenue chez moi, je n’ai pas trouvé mieux pour nous abriter excuse-moi Il sourit et poussa la petite porte multicolore Après vous mademoiselle.  

Je lui rendis son sourire et entra dans la maisonnette. Contre tout attente, elle était assez grande, du moins, deux personnes pouvait y rentrer facilement. Seul problème, c'était la taille. Adaptée pour les bambins, il fallait se plier en deux pour ne pas se cogner. Une fois assise, je frôlais le plafond. Noah n'allait pas vraiment être à l'air.

Dehors, la pluie avait triplé de puissance. Nous avons eu de la chance. Les vetements que je portais, étaient vraiment léger et pas vraiment fait pour ce temps. De nature assez frileuse, quelques frissons commencèrent à parcourir mon corps, ce qui n'était pas vraiment agréable.

Après qu’elle soit rentrée dans la maisonnette, je fis mon entré aussi. Les apparences ne sont pas trompeuses, l’intérieur n’était pas vraiment petit mais il a fallu que je me replie sur moi-même pour pouvoir rentrer pour m’assoir en face d’elle. Bon c’est vrai c’est une cabane pour enfant d’où le problème pour me mettre à l’aise à l’intérieure mais je me plains parce que c’est le seul abri. C’était assez sympa de ne plus être sous la pluie et en bonne compagnie. Je la regarde, ses vêtements de sont pas tellement trempé on n’a la chance de s’abriter bien avant que la forte pluie se mette à couler. Il y avait un peu d’air frais qui commencé à se faire sentir. Je rampe à quatre pas vers Katynka, je lève ma tête d’un demi-centimètre et boum je me cogne au toit de la cabane Aiiie xD. Vraiment minuscule cette cabanes. Arriver à l’autre bout, à coter de Katynka je m’assis près d’elle et mit mon bras autour de son épaule et la sert un minimum pas trop comme même pour ne pas précipiter les choses mais assez pour qu’elle ait moins froid dû moins je l’espérais.Je suis un véritable chauffage humain tu vas voir.

L’averse aller vraiment être forte et durée encore un peu longtemps à entendre le bruit qui sa faisait. Heureusement que la cabane était un minimum imperméable pour pouvoir être un peu au chaud et à l’abri de la pluie. Je la regarde dans les yeux, pensez-vous que c’est possible de ressentir qu’elle que chose pour une personne que vous connaissez depuis pas longtemps ? Parce que je pense que je ressens ce qu’on appelle un coup de foudre, le genre de chose donc les gens heureux parle. Je n’ai jamais connu ça, disons que je fais partie des gens qui ne sont pas encore tombé amoureux dans leurs vie. Je n’ai jamais voulu que mon bonheur sois dû à une personne seulement, je pense que c’est pour cela que j’ai toujours fuit les relations trop compliqué. Mais si un jour on me propose d’essayer de tomber amoureux, je dirais surement oui. Oui seulement si c’est avec une fille comme elle. Je sors de ma poche de ma poche la photo que j’avais pris d’elle toute à l’heure et je la tien dans ma mains juste devant nous. Elle était un peu abimé à cause de l’avoir plié pour la mettre dans ma poche, elle était aussi un peu humides à cause de la pluie mais elle n’était pas en, piteux état non plu. Celle si je la garde pour moi (sourire). Je range la photos dans ma poche. Tu t’enfui, tu me traite de malade ou les deux choses à la fois si je te dit que …. que j’ai eu un très coup de foudre pour toi ?

En s'approchant de moi, Noah se cogna contre un plinthe en bois, ce qui me fit sourire même si je savais parfaitement que cela devait faire mal. Cependant, il ne dit rien. Après s'être assis à mes cotés, il passa un bras autour de mon épaule, pour me réchauffer. 

- Je suis un véritable chauffage humain tu vas voir.

Je souris et.. effectivement, cela marchait plutôt bien. En quelques secondes, je n'avais plus froid et les frissons disparurent. J'étais vraiment bien, malgré le fait que mes jambes étaient légerment recroquevillées sur elles-mêmes et qu'elles commencaient à s'engourdir. Noah sortit de sa poche la photo qu'il avait prise et la déplia. Elle était un peu abimée et semble légerment trempée à certains endroits, même vu la pluie qui tombait. 

- Celle si je la garde pour moi dit-il en souriant avant de remettre le cliché là où il était, c'est à dire sa poche. - Tu t’enfuis, tu me traite de malade ou les deux choses à la fois si je te dit que …. que j’ai eu un très coup de foudre pour toi ?

Et là, je ne sais pas si c'est possible bien sur, j'ai eu l'impression que mon coeur c'était arrêté de battre, pendant quelques petites secondes. Ce genre de chose, on le dit vers les deuxièmes ou troisièmes rendez-vous, non? Bon, après tout, je ne suis pas une experte pour ca, je suis jamais vraiment tombé amoureuse. J'ai eu des petits-amis mais rien de très sérieux.. A présent, je pouvais résumer ma relation avec les hommes en seul mot. Le sexe. Ensuite, ne me demandez pas pourquoi, j'ai embrassé Noah. Sur le coup, sans réfléchir, impulsivement, comme j'avais l'habitude de faire. Chose que je regretta immédiatement. Je venais de détruire une relation avec le seul garcon qui me plaisait vraiment depuis... Pas mal de temps. Complètement perdue et honteuse, je fis l'une des chose que je fais le mieux. Prendre la fuite. Comme la porte du cabanon n'était qu'à quelques centimètres de moi, il ne fut pas difficile de sortir. Je me suis mise à courir, sans trop savoir où aller. Je me suis rendue compte, que ce parc que j'imaginais petit, était en fait assez grand. En quelques secondes, mes vêtements étaient trempés et mon maquillage détruit. Mais je me fichais pas mal de ce que j'avais l'air. Je me détestais vraiment sur ce coup-là... Pourquoi suis-je si impulsive? 

Finalement, j'ai fini par m'asseoir une banc, sans me prendre la tête. Je me suis mise à pleurer, sans grande raison apparente. Sauf si faire foirer une relation en est une, pour vous. A présent, je ressemblais à une fille qui sortait de la douche. Au bout de quelques secondes, je me suis rendue compte que j'avais oubliée mon Polaroïd dans la petite maisonnette. Elle était à l'autre bout du parc avec Noah à l'intérieur. Impossible de retourner le chercher.
La pluie se dissipa et disparue comme par enchantement au bout de cinq bonnes minutes. Je mourrais d'envie d'allumer une cigarette et c'est ce que j'ai fait, une fois la pluie totalement arrêtée. Une forme familière fit son apparition de l'autre coté du parc. Noah. Je voulais partir, fuir, comme je le faisais si bien, mais j'en été incapable. 

Elle m’embrassa sur un coup de tête et par surprise ce qui m’a pas déplus sur le coup mais la minutes d’après elle se leva puis elle s’enfuit en courant par la porte de la cabane puis courra vers l’extérieur sous la pluie. Sur le moment je n’ai pas bougé d’un cil, pas d’un point. Je n’ai pas compris ce qui se passer, est ce que j’avais fait quelques choses de travers, est ce que j’avais gaffé ou dit une chose à laquelle elle ne s’entend pas ? Je ne savais pas où elle était passée mais ce que je savais c’est qu’elle avait laissé son appareil photo ici. Je sors à mon tour de la cabane et regarde tout autour de moi. J’espère qu’elle n’était pas rentrée chez elle, je regard dans tous les sens pour pouvoir savoir ou est ce qu’elle était passée. Il y avait encore une grande averse et il faisait aussi très froid, mon tee shirt blanc et rose commencer a collé à mon corps gelé. Il n’y avait personne dans le parc ce qui me facilita la tâche pour pouvoir voir au loin au lieu de me déplacer pour rien du tout.
Après avoir désespéré pendants quelques minutes je marche dans le parc essouffler et déçus de ne pas avoir trouvé la personne que je chercher. Mais soudain je sentie une odeur familière …. L’odeur du tabac, je cours vers l’endroit ou me mène cette odeur puis je m’arrête subitement. Elle était assise sur un banc en train de se grillé une cigarette, je fais le tour du banc et m’arrêta devant elle en lui tendant son appareil photo beaucoup beaucoup moins trempé que moi.


Pourquoi tu t'est partie ? Je n’aurais pas dû dire ce que j’ai dit ?

Noah s'avanca vers moi, je fis celle qui ne l'avait pas vue. Lorsqu'il arriva à mon niveau, il me tendit mon appareil photo. Je fus heureuse de voir qu'il n'était pas trempé comme moi. Je suis certaine qu'en essorant mon short, mon tee-shirt et mes cheveux, je remplirais un sceau. Je n'osais pas regarder Noah, j'étais trop honteuse par rapport à mon geste de toute à l'heure..

- Pourquoi tu t'est partie ? Je n’aurais pas dû dire ce que j’ai dit ?

Je lui ai répondu sur le champ en mumurant:

- Non, ce n'est ps de ta faute. C'est.. Moi

Moi, Katynka Lunhàby-Blue Jones, la grande impulsive qui n'assume pas des erreurs et préfères fuir que d'affronter ses sentiments. D'ailleurs, pourquoi ais-je embrassé Noah? Après tout, c'est un inconnu, je ne connais que son prénom et son lycée. Le reste, c'est un mystère... J'attendais la réponse de Noah tout en terminant ma cigarette. Mes yeux se levèrent finalement un instant vers le jeune homme, puis revinrent sur mes chaussures.

Non, ce n'est ps de ta faute. C'est.. Moi

Me répond-elle sans prendre la peine de me regarder. Malgré sa je reste planté devant elle les yeux rivé sur son visage qui ne m’adresse aucun regard. Content que ça ne soit pas de ma faute qu’elle soit partie mais comme même assez perturbé de savoir pourquoi elle c’était enfuie. Je m’assoie par terre pour être à sa hauteur, le seul moyen pour la regarder dans les yeux. Au moins de cette façons même si elle regard vers le sol et je pourrais comme même apercevoir une partie de son visage. Le sol était certes assez humide mais qu’est-ce que j’avais à perde vue que j’étais déjà tout mouillé de la tête aux pieds. La pluie avait commencé à s’arrêter depuis un bon moment, ça tombe bien sinon je ne pense pas que j’aurais eu le courage de m’assoir sur le sol du parc. L’odeur de la cigarette qu’elle était en train de fumer me rappelle que je n’en ai pas fumé de toute la journée, ça fait plaisir de savoir que je ne suis pas si dépendant que sa quand je veux bien le croire.

Bein explique-moi. Si c’est à propos du baiser bein dit toi que c’était rien, certes j’ai beaucoup apprécié qu’une aussi jolie fille prenne l’incitative de m’embrasser la première parce que j’aurais pas oser (sourire gêner) mais si c’est ça qui te mets mal à l’aise dit toi que j’en reparlera plus jamais.

Peut être que j'en faisais trop? Après tout ce n'était qu'un baiser, ce n'était pas la fin du monde.. Enfin peut être que si. Ou pas. Trop de pensées circulait dans la tête, ce qui me rendait folle. Je me suis rendue compte que ma cigarette était terminée, je laissa tombé le mégot et l'écrasa avec mon talon. Même si je voulais en prendre une deuxième, je me suis retenue pour ne pas passait pour une dépendante aux yeux de Noah. Déjà qu'il devait me prendre pour une folle. Le jeune homme se mit à ma hauteur, la seconde d'après, en s'asseyant dans l'heure, qui devait être très humide.

- Bein explique-moi. Si c’est à propos du baiser bein dit toi que c’était rien, certes j’ai beaucoup apprécié qu’une aussi jolie fille prenne l’incitative de m’embrasser la première parce que j’aurais pas oser mais si c’est ça qui te mets mal à l’aise dit toi que j’en reparlerais plus jamais.

Je ne savais pas quoi répondre. Le jeune homme me fixait à présent. Vu dans l'état que j'etais, je me demandais pourquoi il ne partait pas en courant, je devais faire peur avec mon maquillage que je sentais couler le long de mes joues.

- Pour moi, ce n'est pas rien. Je.. Je suis vraiment désolé de t'avoir embrassé mais comme d'habitude je gâche tout..

Mais non, qu’est-ce que tu racontes. Tu n’as rien gâché du tout. Oublie ça.


Je le pense vraiment, je ne pense vraiment pas qu’elle ait gâché quoi de ce soit peut importer si elle était partie. Et puis je n’aurais pas su trouver les mots exact après qu’on se soit embrasser parce que un peut déboussoler je pense que je n’aurais rien dit de compréhensible. En voyant son visage j’avais pu apercevoir que ses joue était masqué de maquillage qui coulais sur son visage encore un peu humide. C’est à ce moment-là que je remarquai qu’elle avait dû pleurer pour que son maquillage coule comme ça parce que je doute que la pluie ai pu la rendre dans cette état.
Toujours assis à terre je me demande ce que j’aurais fait si je ne serais pas sortie de chez moi, je veux dire j’aurais loupé une superbe journée. Parce que mine de rien cette journée n’est pas banales en quoi que ce soit, je me suis lever de mon lit du pied gauche avec une devoir à faire et que je n’ai toujours pas fini au passage puis je suis sortie de chez moi et me voilà tout trempé avec le tee shirt foutu et me voilà assis à terre, dans un parc devant une fille que je venais de rencontrer. Jamais je n’aurais imaginé passer une journée pareille.

Tu devrais te voir la maintenant le maquillage qui coule le long du visage (sourire)

Bon ce n’est pas méchant mais comme elle venait de me faire sortir d’un endroit à l’ abri de la pluie et que j’ai dû partir à sa recherche et que maintenant que je suis tout trempé or que j’aurais pu être tout sec comme un vers et bien elle mériter bien une ou deux taquinerie de ma part. Et en plus de sa j’adorais taquiner les gens. Et puis je ne me serais pas privé de prendre une photo si je ne lui avais pas rendue son appareil photo.

Tu et magnifique comme ça

- Mais non, qu’est-ce que tu racontes. Tu n’as rien gâché du tout. Oublie ça.  

Noah était vraiment un garçon gentil. Même si au fond de moi, je restais convaincue d'avoir tout gâcher, il me fit sourire. Il doit avoir un don pour ça, je ne souris pas autant normalement.

- Tu devrais te voir la maintenant le maquillage qui coule le long du visage   me dit-il tout en souriant. 

Je m'en était doutais, que j'avais tête abominable Noah, pas la peine de me le rappeler. Mais comme il disait ça d'un moqueur, je ne le pris pas mal. Surtout quand il rajouta: 

- Tu es magnifique, comme ça.  

Je souris sans rien répondre. La pluie fit une deuxième apparition, ceux qui re-trempa tous mes vêtements, qui venaient de commencer à sécher. Cela ne me dérangeais pas plus que ça, je trouvais ça même agréable. Je jeta un coup d'oeil à ma montre. Dix huit heures trente six. Aïe.. J'avais trois devoirs à faire et je voulais me coucher tôt. Le seul problème, je ne voulais pas quitter Noah maintenant même si j'avais la certitude que j'allais le revoir. 

- Je dois y aller, j'ai trois devoirs à terminer pour demain, je ne vais jamais y arriver si je commence trop tard murmurais-je avec une pointe de regret. 

Je m'approcha du visage de Noah et déposa un baisé sur sa joue. Je lui souris une dernière fois avant de me lever et de lui dire à bientôt. J'étais arrivé au niveau de la grille d'entrée tout en m'apprêtant à sortir une deuxième cigarette de mon paquet quand j'entendis mon prénom. Je me suis retournée et vit Noah, marchant vers moi. 

Je dois y aller, j'ai trois devoirs à terminer pour demain, je ne vais jamais y arriver si je commence trop tard


Katynka regarda sa montre. Elle avait trois devoir a rendre pour demain alors elle devait y aller pour s’y mettre des maintenant. Moi aussi j’avais un devoir à faire donc comme elle aller s’en aller je pense que moi aussi j’allais par la même occasion rentrer chez moi pour me mettre au travail. Elle me fit un bisou sur la joue et se dirigea vers la porte d’entrée du parc pour se rendre chez elle. Je me lève du sol du parc et je la regarde partir, c’est vrai elle aller me manquer mais maintenant que je sais qu’on et dans le même établissement ça aller mieux. Tout a coup, sur de moi je me mis à marcher loin derrière elle et cria son nom. Je venais de me rendre compte que j’avais oublié de lui donner quelques choses. Elle avait dans ses mains son paquet de cigarette et je pense qu’elle aller s’apprêter a en fumer une.

Je pense que tu as oublié sa.

Arriver devant elle je m’arrête et l’embrasse comme dans les films. Même si je ne la voyais plus jamais de ma vie j’aurais au moins aucun regret, je savais son nom, ou elle étudier, ce qu’elle aimer et surtout je n’aurais pas regretté de ne pas lui avoir dit au revoir de la plus romantique manière que j’ai pu faire avec aucune des filles avec qui j’ai pu sortir. Et en plus de sa il pleuvait et c’était très beau de savoir que j’embrasser une fille superbe sous la pluie.

- Je pense que tu as oublié sa.

La première chose qui traversa mon esprit était mon Polaroid. Pourtant, j'étais sûre de l'avoir pris. Je n'ai pas eu le temps de vérifier dans mon sac; car Noah me pris par la taille, ce qui me fit s'approcher de lui et m'embrassa. C'était le genre de scène qu'on voit dans tous les films à l'eau de rose, sauf que je pensais que ça ne se passait que dans ces scènes-là. Et la pluie rajouta une dose de romantisme. Même si je ne suis pas une fille très romantique (à vrai dire, je n'ai jamais cru aux princes charmants et toutes les autres bêtises qui vont avec), mais ça me plaisait quand même. Alors; je n'étais plus vraiment la seule folle dans ce parc. Je fis tomber mon paquet de cigarette, peut être à cause de l'effet de surprise, je ne sais pas vraiment.

Je n'avais jamais embrassé un garçon aussi longtemps. Ou alors, je ne m'en souvenais pas, ce qui était également possible. Après lui avoir rendu son baiser en guise de au-revoir, ramassé mon paquet de cigarettes qui jonchait le sol, j'ai quitté le parc une bonne fois pour toute. Je suis rentrée chez moi trempée, mais de la meilleure humeur possible. Bien que tout allait un peu trop vite entre Noah et moi, je... Je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens. En ôtant mes chaussures, je me suis rendu compte que j'avais oublié de lui donner mon numéro de téléphone. J'hésitai un instant: Soit je ressortais direction le parc à toute vitesse, soit je restais chez moi, terminais mes devoirs et attendrais de le voir demain pour le lui donner. J'optai pour la deuxième option, qui me semblait la plus sage. Moi, sage? Je suis retourné au parc pour voir si Noah y était encore, pour pouvoir lui donner mon numéro. Miracle, il était encore là, assis sur un banc. Je pensais qu'il serait déjà parti, comme je venais de le faire, mais non, il était toujours là. De la surprise se lut dans ses yeux mais il me lança un sourire en me voyant revenir.

- J'ai oublié de te donner ça, moi. murmurais-je

Dans mon empressement, j'avais pris un stylo mais aucun bout de papier. Pas grave, j'ai fait avec les moyens du bord. Je pris la main gauche de Noah et grifonna mon adresse ainsi que mon numéro sur sa paume. Sans vouloir me vanter, j'ai toujours trouvé que j'avais une belle écriture. Je me suis assise à ses côtés, ne sachant que faire d'autres. À part retourner chez moi et me mettre à mes devoirs mais cela attendrait.

Après l’avoir euuh oui LONGUEMENT embrassé, je la laisse sans aller chez elle. Je ne voulais pas être la cause de son devoir non rendue, pas grave je me répétais dans ma tête que j’allais la revoir sur le campus du lycée et à ce moment on fera plus ample connaissance. Je la regarde sans aller du parc et rentrer chez elle. Une fois partie je m’assois sur le banc du parc là où j’étais assis tout à l’heure avec Katynka. Je n’avais pas vraiment envie de m’en aller du parc, finalement j’aimer bien cette endroit calme et sans personne autour. Peut-être que je viendrais plus souvent les fois prochaines bien entendue avec un parapluie et une tenue contre le froid et la pluie. Je m’allonge sur le banc et regarde le ciel, il devait être un peu tard, il commencer un peut à faire sombre et le soleil n’était plus vraiment là, il faisait juste un bon temps. Ni trop froid ni trop chaud, le temps idéal selon moi. Quand je me redresse je vois de loin Katynka qui s’approche de moi, je souri.

J'ai oublié de te donner ça, moi.

Elle me prend la main gauche et griffonne des numéros sur ma paume. C’était son numéro, j’étais heureux à ce moment-là, peut-être le plus content de tous les hommes à cette heure si. Elle s’assied à coter de moi.


J'aurais tout fais pour le récupérer croit moi

C’est vrai, si je ne l’avais pas revue le lendemain au lycée j’aurais tout fait pour essayer de récupère son numéro histoire de garder contact. On ne laisse pas passer une si jolie chance comme sa sous le nez. Je suis assez battant quand je veux.

Je commence a apprécier ta compagnie, ceux qui veut dire que tu va avoir du mal à te débarrasser de moi maintenant. Je t'ai laisser filer une fois pas deux ^^